Cette station balnéaire est située à 160 kms au sud de Fortaleza. Lieu prisé des hippies dans les années 70, c’est maintenant un village de 3000 âmes dont de nombreux étrangers. A la saison haute, de décembre à mi-février ce sont quelques 50 000 touristes qui viennent profiter du site.
La pousada qui nous accueille plonge sur la plage, jardin, terrasses, piscine et les chambres réparties en de petits bungalows ont vu sur la mer, plus verte que bleue.
A 3 mn de marche nous sommes sur l’artère commerçante, – la seule ! – animée de nombreux restaurants et boutiques.
Nous croiserons de nombreux français, dont certains tiennent des restaurant … l’occasion de manger « à la française » !
Les 3 nuits/2 jours que nous passons ici nous permettent de nous mettre à jour de nos gages et du blog, d’étudier posément, de réussir quelques rencontres Skype avec famille et amis, de préparer les prochaines destinations… Mais nous n’oublions pas de profiter des atouts de Canoa.
Le sable est partout. Sur la plage bien sûr où nous nous baladons découvrant tantôt le produit de la pêche tantôt la conviviale ambiance des bars. Sous forme de dunes, tellement vastes que c’est en buggy que nous les parcourons : tous les 5 montés dans le véhicule, notre chauffeur nous emmène à la rencontre de quelques sites prisés : le « logo » de Canoa Quebrada, à flanc de falaise, dont l’origine et le sens, pour tous, restent flous, les activités organisées en plein désert, le coucher de soleil, majestueux…. 2 heures de ballade dont nous revenons enthousiastes autant qu’ensablés.
Allez… en voiture ! >> ici <<
Vous avez aimé ? … alors on continue avec un petit tour sur la plage >> ici <<
Au détour d’une dune, nous découvrons une oasis en bas d’une grande descente,
Nous nous essayerons alors au Sandboard…. sur les fesses >> ici << , ainsi qu’à une tyrolienne rafraîchissante !!!
Alex et Arthur iront également en mer pour apercevoir les tortues qui viennent se nourrir à proximité, sur une embarcation typique des pêcheurs du coin >> ici << : entre bateau et planche à voile, une curiosité.
Le bateau est utilisé par les pêcheurs locaux. Beaucoup de vagues dans cette région, la bateau est donc construit pour ne pas embarquer d’eau. Pour la ballade c’est >> ici <<. Nous apercevrons une vingtaine de tortues. Difficile à photographier car elles sortent la tête de l’eau pour regarder et, dans la seconde, plongent en piqué !
Nous découvrons un game-center, ou pour quelques reals, les enfants jouent à la play station ou la Xbox installées sur de vieilles télévisions.
La dolce vita à Canoa prend fin dimanche matin, la voiture chargée nous nous dirigeons vers Icarai, 190 kms au nord de Fortaleza (le grand écart! ). Ce sont de 5 à 6 heures de route qui nous attendent, enfin ça c’est la théorie….
En 2 heures nous arrivons au sud de Forta, contents de notre timing. Notre GPS est un nanar, il ne nous indique pas la « nouvelle » route (ouverte dans sa totalité depuis probablement plus de 5 ans! ) pourtant affichée sur la carte touristique que nous possédons. Et en essayant tant bien que mal (plutôt mal) de retomber dessus, nous nous retrouvons en pleine ville. La pause déjeuner s’impose et nous en profitons pour demander l’aide du serveur qui demande l’aide du livreur… Nous repartons forts de leurs explications lesquelles nous ramènent sur la route de Canoa ! Deuxième demande à une station service : « c’est la bonne route, continuez »… On s’interroge sérieusement en repassant aux mêmes endroits par lesquels nous sommes venus le matin sans y voir aucune bifurcation…. Trop c’est trop, re-arrêt, re-demande… Et là le gars ne sais pas lire une carte!… Nous finissons seuls avec notre GPS pourri et notre carte touristique par gagner la bonne route, cette aventure nous ayant coûté 3 heures de conduite en plus !!
On profite d’une pose pour découvrir la connectique électrique locale… Du boulot en perspective pour CHRONO Watt !
Bertrand, voici le Suzuki du coin …. rien que pour toi !
Il est plus de 17h30 lorsque nous arrivons à notre destination. Nous sommes partis à 9h30 de Canoa avec
350 kms à parcourir…. Désespérant! !
Durant cette longue ballade, nous croiserons beaucoup de vaches en liberté – et donc régulièrement sur les routes !
Le cheval, la mûle et l’âne sont présent partout dès que l’on s’éloigne un peu des grandes villes.
SNIIFFFFFFF ! ! ! ! cela resseemble à un Paris-Dakar la ballade en jeep… Mon rêve….
quand au Sand Board … j’aurais tellement aimé voir Steph et Alex essayer la descendre et saut « plongeant »…..
OH OUI! C’est bon ça aussi . Alors moi j’aurai mis cherita : embarcation typique local entre bateau planche à voile ET table de ping pong . Mais je dis ça, je dis rien! Par contre quand vous dîtes « desespérant » je vous dirai non, c’est pas ça le désespoir! Et, parceque les citations ça faisait longtemps, celle là est d’Oscar Wilde : Vivre est la chose la plus rare, la plupart des gens se contentent d’exister . Je nous ai trouvé tout à fait GUSTABLES (dans un espagnol amélioré) les pieds dans le sable, j’irai jusque dire tendance! Hein?!?
Salut les globe-trotters,
Depuis le début, nous suivons vos aventures avec grand plaisir. Merci de nous régaler au quotidien (surtout quand on pense au temps qu’il faut pour rédiger chaque article, après une journée bien remplie). Vous êtes courageux et dans le partage fidèles à vous mêmes.
Voici les dernières nouvelles de chez nous. Ludo, Maxime et moi sortons régulièrement avec Pépito et Veyne autour de la Placelière. Chaque vendredi soir, Ludo et moi taquinons le parquet de la salle de cours de salsa. Olé !
De temps en temps, Maxime fait prendre l’air au dirt d’Arthur. Justine espère bien retrouver sa copine Maëlle pour la danse et les rigolades.
Pour Stéf, quelques nouvelles de « La saucisse » qui se porte mieux après 1 mois de collerette à cause d’une conjonctivite infectée.
Les photos et les vidéos c’est bien mais ça ne remplace pas le réel !
Gros bisous à vous tous. Ludo, Sandrine, Maxime et Justine Garreau
Quelle chance inouïe pour Maëlle de tenir le soleil dans sa main ! J’adore cette photo !