Voilà, nous y sommes, ces 11 jours au Kenya seront les derniers de notre voyage… Pour le coup, c’est assez étrange, nous pensons beaucoup au retour, maintenant imminent, et à tout ce que nous devons mettre en place pour cela… Mais le Kenya, et c’est heureux, est tellement dépaysant, loin de nos codes occidentaux, de nos paysages, de notre faune que ces stimulis nous permettent de nous sentir encore pleinement en voyage !
Nous découvrons ces nouveaux paysages, des habitants très sympas et le mode de vie « à l’Africaine » !
Nous dépassons en permanence des troupeaux de chèvres, montons ou vaches comme >> ici <<.
Passée notre première nuit à Nairobi et la rencontre avec notre chauffeur, Mike, et notre guide vaguement francophone, Tomas, nous prenons la route ce 9 juillet en direction du parc à 160 kms au nord de Nairobi. L’attraction principale du parc, le lac Nakuru, fait partie du chapelet de lacs qui parsèment la vallée du Rift au Kenya et en Tanzanie et qui sont apparus à la suite de la rupture de la plaque tectonique il y a 20 millions d’années. Le parc est riche d’une grande variété de flore (assez boisé, on y trouve en particulier une forêt d’acacias et une profusion d’euphorbes candélabres) et faune (rhinocéros noirs et blancs, girafes Rothschild, des waterbucks, des impalas, des buffles, des gazelles de Grant.. ..).
Après près de 4 heures de route et de piste – assez éprouvant, la piste, autant à cause de ses nids d’éléphants en pointillés que par la poussière soulevée à chaque passage de véhicule – nous parvenons au lodge, en pleine nature, non sans avoir admiré les zèbres, ces artistes de l’art abstrait, les innombrables pintades sauvages, plutôt adeptes du pointillisme et les gazelles de Thomson tricolores.
Nous voilà fin prêts dans notre minibus pour notre safari… Et nous allons manger beaucoup, beaucoup de poussière !
Le « game drive » (ce que nous appelons généralement « safari ») s’élève ici en religion, qui se pratique matin et soir. Nous ne dérogeons pas. Et à 15h30, nous embarquons pour quelques belles observations…
1ères rencontre avec un Masaï, dans sa fonction de « vigile »… car derrière les babouins et les hyènes s’ébattent à quelques mètres.
Heureusement que la nuit a été bonne car la journée suivante sera éprouvante. Se rendre dans la réserve de Masai-Mara qui se situe à la frontière avec la Tanzanie (dans le prolongement du parc tanzanien du Serengeti), se mérite. 6h30 de route dont 180 km de « dust road ». Pour en profiter aussi… c’est >> ici << !
Nous découvrons au fil des kilomètres ce pays qui fait parti des 50 pays les plus pauvres du monde.
Les dos souffrent, et nous parvenons au Mara Nyumbu Camp, certes affamés mais tout autant interdits : au cœur même du bush, sans clôtures, se dresse un campement composé de vastes tentes, d’un accueil et d’une salle de restaurant, le tout fonctionnant uniquement au solaire et grâce à des forages… Potentiellement (et réellement !), les animaux sauvages traversent le camp, et à la nuit tombée, nous sommes alors systématiquement accompagnés d’hommes Masaïs, naturellement craints par ces animaux.
Un porche, mais pas de clôtures !
Nous sommes ici pour 3 nuits, celles d’un gouffre espace-temps !!!
Les Masaïs veillent…
Apéro autour du feu de camps avec une famille Hollandaise, passionnée d’Afrique.
Nous sommes là en périphérie de la réserve du Masaï-Mara dont le prolongement avec le Serengeti représente 25 000 km², soit presque la Belgique. On dénombre environ 80 espèces de mammifères, l’écosystème ayant lentement évolué vers le pâturage herbeux, au dépend de la brousse et des arbres, isolés sur les hauteurs.
Le Masai-Mara est parcouru par l’impressionnante migration des gnous. Partis du sud de Serengeti au mois de mai, ils vont chercher de nouveaux pâturages vers le nord et atteignent Masai-Mara entre juin et septembre. Au plus tard en décembre, ils reviennent vers le Sud. Voilà. Nous sommes en « plein dedans ». Et ce n’est pas rien : le troupeau est constitué de 1 300 000 gnous qui sont accompagnés d’environ 200 000 zèbres et d’autant de gazelles (d’aucuns annoncent jusqu’à 2 500 000 individus, mais on ne va pas chipoter, ni compter… ). Cette alliance a pour raison la protection vis-à-vis des prédateurs ainsi que la complémentarité des régimes alimentaires.
Pic-nique sous un arbre isolé, le seul moment où nous pouvons descendre du van.
Spécialement pour vous, les mordus de la faune, voici un petit pensum :
Le zébre de Burchelli vit en groupes familiaux constitués d’un mâle, de deux à six femelles avec leurs petits. La disposition des rayures est très semblable d’un individu à l’autre, et pourtant, aucun n’est identique à son voisin, nous les trouvons vraiment très beaux.
Le gnou à queue noire pèse de 145 à 250 kg. Il a des cornes de 60/70 cm resserrées et recourbées. Ils se réunissent en énormes troupeaux et peuvent migrer sur 1000 à 1500 km. Pile-poil, on y est, ils sont là, sous nos yeux ébahis :
Envolée de gnous >> ici <<. Boire à la rivière est toujours risqué, ils le savent bien >> ici <<.
Le buffle d’Afrique atteint environ 1,70 m au garrot pour un poids de 300 à 700 kg. Ses cornes, massives à la base, forment un casque au-dessus du front (que Maëlle a renommé « perruque ») et atteignent environ 1 m de long. Ils se rassemblent par 3 ou 4 et leurs charges sont potentiellement dangereuses pour l’homme.
Les hippopotames, animaux au corps lourd et massif, sont abondants dans la rivière Mara. Le mâle peut mesurer jusqu’à 4,20 m de long pour un poids de 3 tonnes ( 1,5 tonnes pour la femelle) mais, court sur pattes, il ne dépasse pas 1,65 m au garrot. Ses narines, entourées de poils épars et raides, peuvent se fermer hermétiquement quand l’animal s’immerge. La bouche, énorme, est munie sur la mâchoire inférieure d’impressionnantes canines de défenses ; elles peuvent atteindre 70 cm de long, et peser près de 3 kg. La peau, épaisse et dépourvue de poils, sécrète un mucus protecteur de couleur plus ou moins rouge, s’il est donc « rosé » par endroits ce ne sont pas des coups de soleil, bien au contraire !! En vidéo >> ici <<
Les « hippos » passent leurs journées dans l’eau ; la nuit, ils quittent leur refuge aquatique pour aller à la recherche de nourriture (herbes et plantes). Ils peuvent ainsi parcourir à terre quelque 30 km chaque nuit, sur des pistes balisées par leurs excréments, en revenant toujours à leur point de départ. Ils sont potentiellement dangereux pendant ces trajets, n’hésitant pas à charger tout intrus.
L’impala a une hauteur au garrot d’environ 1 m, son dos est châtain et son ventre blanc. Quand ils sont effrayés, les impalas se dispersent en faisant des bonds qui peuvent atteindre 9 m de long et 3 m de haut afin d’effrayer et de perturber les lions. Les impalas mâles ont des cornes longues et noires qui ont la particularité d’être en forme de lyre.
Vu de derrière, on dirait vraiment le M de Mac Do… mais pour les lions !
Le topi – nous en verrons beaucoup- est une grande antilope (115 cm au garrot pour 120 kg), bicolore dans des tons « chocolat glacé», c’est très tendance.
La gazelle de Thomson est, elle, une petite gazelle. Elle a un pelage fauve, blanc sur le ventre avec une bande noire oblique caractéristique sur le flanc. Seul le mâle porte des cornes.
Simba, le lion… Ce seigneur atteint plus de 2 m de long, queue non comprise, autour de 1,20 m au garrot et pèse entre 150 et 250 kg. Il se déplace peu (10 km environ par jour) et ne passe que deux à trois heures par jour à chasser ses proies. Le reste du temps, il se repose et dort.
Les mâles ont pour charge la protection du groupe et de son territoire, tandis que les femelles chassent. Les lionceaux mâles restent dans la troupe jusqu’à ce qu’ils en soient expulsés par des mâles plus âgés. Ils errent alors pendant plusieurs années, après quoi ils commencent à lutter avec des mâles rivaux pour la direction d’une troupe. Les lions sont polygames et s’accouplent tous les 18 à 26 mois à l’état sauvage. Après une gestation d’environ 110 jours naissent de un à quatre lionceaux au pelage épais et tacheté. En captivité, les lions peuvent vivre jusqu’à 30 ans ; dans la nature, les mâles vivent en moyenne 12 ans et les femelles 16 ans.
Monsieur et Madame font la sieste >> ici <<
La lionne traque attentivement sa proie et, une fois à proximité d’elle, la poursuit et la capture après une course pouvant atteindre 50 à 60 km/h. Le poids élevé et la vitesse de la lionne font habituellement tomber la victime, qui est ensuite achevée par une morsure à la gorge. Après que la femelle ai tué sa proie, le mâle vient réclamer sa part de viande. Un lion peut manger 40 kg de viande à la fois puis passer plus d’une semaine sans chasser. Nous avons la chance d’en voir de nombreux, à quelques mètres de distance, heureusement repus et fatigués par leur chasse récente >> ici << ou >> là<< et parfois devant la carcasse qu’elles viennent de manger.
Le guépard, cheetah en anglais, a un long corps étiré, des pattes beaucoup plus longues que celles du léopard, et une tête plus petite. La longueur, queue non comprise, est d’environ 1,5 m. Les guépards femelles sont des animaux solitaires, sauf quand elles ont leurs petits. Les mâles adultes se déplacent en général seuls ou par groupes de deux ou trois, souvent des frères, et ne se joignent aux femelles qu’au moment de l’accouplement. Le guépard capture sa proie à la course, généralement le jour, il chasse à la vue plutôt qu’à l’odorat. Et sur de courtes distances, c’est l’animal terrestre le plus rapide : il peut atteindre des vitesses d’environ 110 km/h !
Autour des proies attendent avec beaucoup de patiences les charognards que sont les vautours : plus de 2m d’envergure, poids de 4 à 7 kg… Ils repèrent de très loin les proies grâce à une très bonne vision de loin.
Nos chouchoutes les girafes, l’emblème de Charlotte, la p’tite cousine des enfants, est le plus haut de tous les animaux terrestres. Le mâle atteint en moyenne 5,4 m de haut et sa langue, longue de 40 cm, lui permet d’atteindre les feuilles d’acacia qui sont sa principale nourriture. La girafe, comme la plupart des mammifères, n’a que sept vertèbres cervicales, qui sont fortement allongées pour soutenir son long cou musclé. Du fait de la grande distance entre le cœur et la tête de l’animal, son système vasculaire est équipé de valves permettant au sang d’atteindre le cerveau. La girafe peut vivre jusqu’à vingt-six ans dans la nature et jusqu’à trente-six ans en captivité. À cause de leur poids élevé (jusqu’à 2 tonnes pour les mâles, 600 kg pour les femelles), elles ne peuvent traverser les lits de rivières ou les marais bourbeux. Ici, ce sont les girafes Masaï qui sont présentes, sachant qu’il en existe 3 sortes : Masaï, Rothschild et réticulée.
Je m’arrête là pour le descriptif, la liste est longue, et je ne voudrais pas que nous perdions notre public, si près de la fin, je m’en voudrais !!
Les observations animales, exercices de patiente, ont été mises de côté ce vendredi 12 pour profiter d’une bien jolie rencontre dans un village Masaï.
Après avoir sollicité l’accord du chef, négocié puis payé (et oui, la rencontre tribale a un prix), nous sommes accueillis avec la danse des hommes puis pénétrons dans l’enceinte qui encercle les maisons et permet de rassembler le cheptel la nuit venue. On patauge allègrement dans la bouse, chez les filles ça coince dur… les pas sont calculés !
Chaque famille à sa « barrière ».
Danse traditionnelle pour notre accueil >> ici <<, puis celle de la séduction >> ici << le Masaï qui saute le plus haut choisira la plus belle femme du village. Vas-y Arthur >> ici <<
Les hommes, les gardiens du feu, nous montrent la façon dont ils procèdent, armés d’un morceau de red cedar, d’une baguette de bois moins dense, de salive pour faire glisser et de bouse séchée >> ici <<. Arthur joue le jeu…pas franchement facile-facile.
Rien ne se perd, tout se transforme : la bouse de vache ne sert pas qu’au feu, et elle permet avant tout de construire les maisons, mélangée à de la terre et de l’eau, et appliquée sur une armature faite de branches souples tressées. C’est le travail des femmes. Nous pénétrons dans l’une d’elles, étroite basse et sombre, sans fenêtre et dont les pièces sont sommairement séparées : chambre des parents, chambre des enfants (4 ou 5 au minimum par famille), une chambre d’amis (oui !) et une pièce, à l’entrée, pour les très jeunes veaux (gloups). Le feu et les instruments de cuisines sont dressés au centre de ces différentes pièces.
Les Masaïs les plus traditionnels ne mangent encore aujourd’hui que du lait, du sang et de la viande. Ni fruits ni légumes.
Nous échangeons longuement avec l’un des hommes du village qui converse dans un anglais parfait (tout comme le chef du village d’ailleurs) et rempli la fonction d’enseignant auprès des enfants, dans une école construite et financée par une ONG canadienne.
Puis ce sont les femmes qui dansent et chantent pour nous avant de nous montrer leurs créations de bijoux traditionnels, en perles pour la plupart, sculptures, accessoires… Afin de ne froisser personne, nous devons faire attention à bien rendre une visite à chacune !
La danse des femmes >> ici <<
Voilà une rencontre qui ne laisse pas insensible ! Le chef du village est la cheville ouvrière et le garant des traditions, les écarts vestimentaires (le port du pantalon par exemple) pouvant mener à l’exclusion. Et quelle antonymie entre cette vie sans électricité (même solaire), eau courante, ce confort rudimentaire, et l’importance de l’éducation, de la scolarité des enfants !! Un système aux valeurs bien ancrées.
Les Masaïs que nous avons rencontrés, notamment au camp, sont d’une remarquable gentillesse, comme une évidence, ce qui nous a vraiment beaucoup touchés. Ils sont gracieux, longilignes aux attaches fines… Le régime protéiné, certes décrié et décriable, a ici fait ses preuves !!…
Samedi matin rime avec chemin… de terre, de cailloux, de bosses, de trous, parfois pas de chemin puis, enfin, après 2 heures de maltraitance vient la route… direction le lac Naivasha. Un trajet d’autant plus long que nous passons entre les mains de la police locale pour excès de vitesse. Notre chauffeur se fait même passer les menottes, on ne se refuse rien !
Le lac Naivasha, l’un des rares lacs d’eau douce de la vallée du grand rift, se situe au pied du volcan Longonot, à 100 kilomètres de Nairobi.
C’est le lieu privilégié pour les amateurs d’oiseaux avec plus de 300 espèces recensées : échassiers, rapaces, martins pêcheurs et passereaux s’observent facilement depuis un bateau longeant les rives du lac. Des milliers de flamants roses et oiseaux planent au-dessus des hippopotames, le plus souvent immergés en famille.
Les flamands roses par centaines >> ici <<
Des singes jouant de branche en branche >> ici << ou se papouillant >> ici <<
400 hippos dont on n’aperçoit souvent que les yeux et les naseaux >> ici <<
C’est au Parc National d’Amboseli que nous allons faire nos dernières observations. Nous prenons la route au petit matin ce 16 juillet avec quelques 7 heures de route et de piste au programme. Notez, circuler au Kenya est un spectacle, et malheureusement pas toujours celui de la nature : la circulation des camions, le doublement aléatoire ou au forcing, les queues de poisson, les véhicules renversés sur le bas-côté ou stoppés au milieu des voies, incapables d’aller plus loin… On verrouille les ceintures et on se réjouit lorsque l’on est à bon port !
Amboseli, en territoire Masaï, est le deuxième parc le plus visité du Kenya, et l’un des plus vieux. Le principal attrait du parc est sa situation géographique, près de la frontière avec la Tanzanie, au pied du mont Kilimandjaro, le plus haut sommet d’Afrique. C’est de ce parc que l’on distingue le mieux le sommet enneigé du « Kili ». On découvre ainsi des paysages de savane avec le sommet enneigé en toile de fond (régulièrement discrètement caché derrière les nuages !!) L’Amboseli Park ne compte pas moins de 1 000 éléphants, des buffles, gnous, gazelles, antilopes, hippopotames…
En périphérie du Parc, résident de nombreuses communautés masaïs. Ce peuple de pasteurs a conservé ses traditions intactes malgré un contact permanent avec le monde occidental. Ils ont su préserver un mode de vie ancestral, tant du point de vue de leur habitat – hutte de paille et de terre sèche – que du point de vue de leur alimentation – breuvage de lait et de sang.
Dans ce village, pas d’eau, pas d’électricité, pas de toilettes ! Pour l’eau, c’est l’hôtel à touriste du coin qui offre, idem pour quelques prises électriques pour recharger les portables. Pour les toilettes,direction… le bush !
Les Masais sont presque toujours vêtus de rouge et de colliers de perles traduisant un certain art. Ces traditions sont le reflet d’une volonté réelle de la part des Masais de préserver leur culture et ne semble pas répondre à une logique touristique de « folklorisation ». Ils vendent leurs productions à l’entrée du parc : bijoux, statuettes, chasse-mouche… Passés ces incontournables «investissements à longs termes » et marchandages, nous voici vite au cœur de ce petit parc de 400 m2 à profiter de la faune qui l’occupe, et plus qu’ailleurs des éléphants.
Une petite faim ?… ce lion au ventre bien rond vient de déguster un jeune hippo !
Silhouettes majestueuses >> ici << et >> ici << de ces pachydermes de plus de 5 T, en liberté !
Mercredi matin, veille de notre départ (notre vol est 4h30 ce jeudi matin en direction du Caire pour une escale avant de gagner Paris à 14h30), nous allons remettre au dispensaire proche de notre campement les médicaments qui ont fait partie du voyage sans qu’on en ait l’usage. Et quand on voit le dénuement de leur armoire à pharmacie, on se dit que l’on a vraiment bien fait.
Un petit tour par l’école toute proche et nous retraversons le parc avant de rejoindre Nairobi pour une visite expresse du centre, à pied.
Les bâtiments officiels sont surtout récents comme le bureau présidentiel à droite.
Le marché du centre de Nairobi !
Ce petit bout d’Afrique noire nous a beaucoup dépaysé, et nous comprenons après coup combien cela était important pour notre «final »… car depuis quelques semaines déjà, la gestion de notre retour est presque un quotidien, ce en quoi nous avons grandement été aidés par nos proches, Papou et Mamilou ainsi que Sophie et Arnaud, qui auront pris soin de Saxo, notre chien, et notre maison pendant ces 350 jours de traversée. MERCI.
Les inclassables :
Nous faisons un stop à Kigali (Rwanda) avant d’arriver à Nairobi. Et les Chinois sont encore et toujours présents, placardant à tout va de la pub dans l’aéroport !
Voici la liste des fameux « Big 5 », alors pourquoi pas l’hippo ou la girafe ? Simplement car on parle ici de chasse. Et ces 5 animaux sont les plus compliqués et dangereux à chasser !
Au lac Naivasha, nous logerons dans un lodge à la déco… exceptionnelle 😉
Les gardes des Parcs sont armés… de kalachnikov !
La peau de Zèbre… (ici sur patte) Quelle création merveilleuse de la nature !
Soirée ciné en famille…
Private joke … Maëlle tente de rendre la pareil à sa Maman !
A l’entrée des parcs les femmes proposent les objets traditionnels. Ça discute ferme !
En pleine campagne les policiers nous interpellent pour excès de vitesse. Ils n’ont pas un bureau correct et dans le même temps, ils disposent des dernières « speed cameras » avec vidéo et enregistrement.
Jolie pancarte sur le fronton de l’université ! … et oui la corruption ici ça existe même si l’on s’en défend.
Vous aves bien misé. De votre Smoked meat sandwich chez Dunn’s Delicatessen Montréal, le 03 aout 2012 vous avez dit je que rentrerais possiblement avant vous. J’arrive, le 18 juillet sur Nantes retrouver Benoit, Isabelle et mes petits enfants jusqu’au 15 aout.
Vous nous en avez mis plein dans nos yeux et des frissons tout le corps.
A vous et votre merveilleuse famille, je vous souhaite une douce rentée.
Amicalement,
Teresa Beaulieu
Quel dépaysement…c’est magnifique..!! Bises aux lionnes de ma part..!! 😉
Totof
Très chers amis,
Merci pour tous vos posts et articles, c’était merveilleux de vous suivre durant ces 350 jours à travers votre blog. Bon voyage et bon retour chez vous surtout ! nous avons hâte de vous revoir… Grosses bises à tous,
Sylvie
Superbe reportage !!! À la hauteur de tous les autres évidemment ! On avait dit qu’on fera le safari ensemble …tant pis vous serez obligés de nous servir de guide la prochaine fois! À demain !!!!!
Encore un reportage d’une très très grande richesse, un grand merci pour nous avoir fait voyager et rêver tout au long de ce tour du monde. Vous allez en avoir à raconter ;-())))))
Si ça te manque Alex, nous t’avons trouvé un tuyau pour importer des mygales grillées pour l’apéro :-()
Bon retour et à bientôt
Je n’ai jamais visité un pays du continent africain, j’avoue que j’en ai un peu peur et je m’informe tout le temps. J’aimerai bien vivre vos aventures et voir les animaux en pleine nature.
Anne M. – Une bloggeuse un peu spéciale