Nous profitons du cadre paradisiaque de l’hôtel Taman Sari au nord-ouest de Bali jusqu’à ce vendredi 22 février qui sonne notre départ pour Java avec nos nouveaux guide et chauffeur, Guédé et Guédé.
Ils font la paire ces 2 là ! Nos guides, aussi intéressant que sympathique, spontané et loquace, nous explique particulièrement bien la culture des castes, les différences de traitement entre garçons et filles ou l’art de prénommer ses enfants… et bien sût tout ce que la religion comporte de subtilités !
Après 30 mn de route, nous embarquons pour Java à bord d’un Ferry… pas d’autres touristes alentours… Notre présence est remarquée : on n’est pas toujours très à l’aise et on surveille de près Servane.
La traversée est rapide. Les Balinais ont pourtant toujours rejeté l’idée d’un pont entre ces 2 îles très proches : le contrôle des mouvements de population serait alors bien plus difficile. Java, musulmane et plus pauvre n’est guère appréciée par la populaire et pacifique Bali.
La route qui nous conduit à notre hôtel en altitude, surplombant les rizières, se termine par plus de 3 kms d’un étroit chemin plus chaotique et escarpé que nous n’aurions jamais pu imaginer. Avec ça, on n’est pas pressés de redescendre… et pourtant…
La cigale (oui il n’y en a qu’une !) nous offre son chant tonitruant >> ici <<, puis viens le temps de l’appel à la prière >> ici << nous sommes en plein campagne !
10 bons centimètres… qui regarde sous le lit ce soir !
Cette après-midi, Alexandre, malade, se repose pendant que Guédé nous emmène pour 2 heures de promenade, traversant les rizières et villages, rencontrant les paysans et nombre d’enfants et de familles intrigués et amusés par notre présence.
Oui c’est lourd, très lourd (et pas que le buffle !)
Notre peau est tellement claire ! Nos cheveux sont si blonds ! Et que nous sommes « grands » !! Maëlle s’étonne de l’attitude de cette dame qui lui « malaxe » le bras… Et comme nous avons grappillé dans nos valises quelques t-shirts, crayons et babioles, c’est un peu la fête… Mais les stocks sont vides épuisés…
Jean-François dépasse tout le monde d’une bonne tête… quel plaisir !
Ce soir-là nous filons bien vite au lit car demain une nouvelle ascension nous attend… Enfin pour les plus en forme et motivés car la pluie battante qui a sévi toute la soirée signe le désistement de Papou et Mamilou, Alex, lui, avait déjà sa dispense du médecin !!
Départ à 5heures ce samedi, les enfants, Stéphanie et Guédé à bord d’un 4X4 pour une heure de route jusqu’aux flancs du volcan Kawah Ljen qui signifie « cratère Vert » en javanais. Il abrite un lac acide ovale d’un kilomètre de longueur, de 600 de largeur et couleur turquoise due à l’extrême acidité de ses eaux, ce qui lui vaut d’être considéré comme le lac le plus acide du monde… Petit-déjeuner pré-ascension incontournable. A 6h30 nous débutons la grimpette et croisons les premiers porteurs qui reviennent du cratère : le minerai de soufre est exploité depuis plusieurs décennies par des villageois. Ces derniers extraient le minerai à coup de barre à mine sous la forme de blocs de plusieurs dizaines de kilogrammes chacun qu’ils installent dans des paniers. Ils les redescendent ensuite à pied dans la vallée jusqu’à une usine. Ils sont impressionnants. Nous leur offrons nos surplus de petit-déj’ et des gâteaux achetés à leur intention. Nous recevons de larges sourires, Arthur et Maëlle «font » le service et se prêtent avec eux à quelques photos souvenir.
1h30 jusqu’à percevoir les contours du cratère, en partie masqués par les nuages. Ça pique les yeux, irrite la gorge et nous couvrons nos visages de foulards… Les porteurs ne prennent pas ces précautions… En faisant 2 « voyages » par jour, ils gagnent 12 à 13 euros… pour + ou -160 kilos transportés !! Quand la vie n’offre rien d’autre…
Un tour de « Mako Moulage » et hop… quelques animaux à vendre aux touristes pour améliorer l’ordinaire !
Après avoir réunis notre petit groupe, nous regagnons l’embarcadère et le ferry qui nous traverse jusqu’à Bali.
Nous quittons un pays très profondément musulman où les signes religieux sont omniprésents : mosquée tous les kilomètres (financées majoritairement parait-il par l’Arabie Séoudite), l’appel à la prière 5 fois par jours et parfois ca dure très longtemps, les femmes sont voilée…
A Bali, nous nous arrêtons au port de Perancak pour admirer les bateaux traditionnels Bugis.
Nous découvrons une flotte de bateaux magnifiques spécialisés dans la pêche de nuit. Sur le port, un pêcheur et son fils lancent le filet pour un maigre butin >> ici <<
Au centre de protection des tortues (une minuscule infrastructure ayant le mérite d’exister !!) nous adoptons un nid d’œufs de tortues. 75 bébés potentiels mis dans un lieu préservé permettant d’éviter le pillage ou la destruction. Naissance prévue au plus tard le 18 mars, on attend des nouvelles de notre famille nombreuse ! Et bien sûr il faudra les baptiser : 75 noms commençant par B comme Bali of course. Pour ça aussi on compte sur vous !!
Elle est bien vivante >> ici << !
Voici le lieu protégé ou nichent les 75 oeufs de tortue des enfants ! Diplôme à l’appuie !
Nous arrivons bien fatigués à l’hôtel donnant sur la plage encore assez sauvage… Et offrons nos petons aux bons soins de massages drainant ou relaxant…
Au matin suivant, nous faisons la route jusqu’à l’hôtel Sanur, notre premier point de chute, où nous finissons la journée posément… Non sans avoir fait nos au revoir à nos guides et chauffeurs.
Dernier temple visité : le tanah Lot. Paysages magnifiques >> ici <<
Nous sommes bien à Bali, les offrandes sont partout.
Notre deuxième semaine va se révéler intense et passionnante : direction les Célèbes, cette île connue ici sous le nom de Sulawesi. Re-départ matinal (5h ! vous parlez de vacances !!) pour l’aéroport puis direction Makassar, la capitale. Accueillis par Youpi ( !) le guide et Harris le chauffeur, nous embarquons en direction de Rantepao en pays Toraja. 7 heures de route pour 340 km, le genre de tracé improbable à l’enrobée en pointillés, c’est fastidieux (surtout pour le chauffeur, armé de patience et de prudence) et les arrêts sont les bienvenus…
Arrêt salvateur du minibus, Papou découvre un proto et pas n’importe lequel !
Nous entrons enfin en pays Toraja (To : Peuple – des – Raja : Montagne), et ce qui frappe en premier lieu ce sont ces étranges maisons traditionnelles appelées “Tongkonan” aux toits en forme de bateau.
C’est ainsi que la population se rappellerait leurs ancêtres venus en bateau et dont la coque, portée par des pilotis aurait été le premier moyen de se protéger des pluies et du soleil. Ce sont dans les montagnes du centre de cette grande île que vivent les Torajas, une ethnie aussi passionnante que surprenante aux traditions et coutumes hautes en couleurs qui ne semblent pas prêtes de s’éteindre. La quasi-totalité de l’archipel indonésien est musulmane mais les Torajas sont à la fois animistes et chrétiens.
L’hôtel qui nous accueille, isolé, est presque désert. Peu de touristes (11 000 par an) et encore moins à cette saison….
Nous nous rendons au marché de Bolu qui a lieu tous les 6 jours, où tout n’est que couleurs et odeurs, poisson séché, durian, épices et animaux vivants (combats de coqs ou cochons sanglés sur des « brancards »)… Et puis il y a la vente des puissants buffles : partout présents et choyés, on ne s’en sert pas comme animal de trait! Les buffles sont trop importants pour prendre le risque de les fatiguer et de les voir malades, ce sont les êtres humains qui poussent la charrue : ils sont sacré… enfin jusqu’au moment de les abattre… pour les sacrifices.
Quelle ambiance dans ce marché ! Au fait, n’oubliez pas votre cochon >> ici <<
Les combats de coqs sont interdit… mais bon, 1 petit billet et le tour est joué ! Au marché on montre ce que valent les coq en combat pour bien les vendre >> ici <<
Si vous êtes attentif, vous repérerez sur la façade de ce restaurant des cordages bleue et blanc… C’est le signe qu’ici vous pouvez manger du chien !
En face, le forgeron frappe et aiguise les lames >> ici <<
Des la fin du marché, de jeunes musulmans eux aussi en visite du pays Toraja, nous sollicitent pour des photos souvenirs !
Une cérémonie funéraire traditionnelle Toraja a lieu ce jour-là à quelques kilomètres… Plus ici qu’ailleurs l’on vit pour mourir. Plus ici qu’ailleurs il n’est PAS vain de courir après les richesses matérielles car on les emportera au ciel, au paradis Toraja. Le défunt n’est enterré qu’une fois les moyens réunis : argent, construction des maisons temporaires chargés d’héberger la famille (400 à 500 personnes), et les disponibilités de chacun. Il s’écoule donc plusieurs mois (ou années) pendant lesquels le défunt est conservé grâce à des injections de formol, dans la maison familiale, et dont on dit alors qu’il est « sérieusement malade », un doux euphémisme !!!
Les premiers chants >> ici << qu’avec les hommes.
Les invités amènent des présents. Chaque donation fait l’objet d’une comptabilité dûment enregistrée : si je viens et j’offre un cochon à la famille du mort (nous avons juste offert une cartouche de cigarettes !), ils devront en retour faire de même pour mes funérailles. On consigne donc tout dans un registre. A savoir aussi que l’état indonésien perçoit une taxe sur ces offrandes et un représentant de l’armée est là pour faire en sorte pour que cet argent arrive jusque dans les caisses de l’état. Les touristes sont également les bienvenus lors de ces cérémonies. Les Torajas considèrent qu’ils viennent, au même titre que les invités, rendre hommage aux défunts. Cochons (leur sort est le plus difficile : ils passent des heures à attendre leur triste fin, ligotés et coincés entre deux troncs de bambou, qui servent à leur transport) et surtout buffles sont des cadeaux très appréciés. Les animaux sont abattus pour être mangés. Une famille de haut rang se voit offrir en sacrifice plus de 30 buffles.
Les cornes de buffles des précédentes cérémonies sont exposées pour montrer la richesse de la famille. Les buffles sont débarqués par les invités en pleine cérémonie >> ici <<.
C’est un animal sacré, et c’est « sur son dos » que les âmes des défunts franchissent la porte de l’au-delà. Plus les buffles sacrifiés sont nombreux, plus haut l’âme du défunt s’élèvera. Le must, les buffles albinos ou tachetés : ils sont rares, coûtent plus cher et leur sacrifice permet à l’âme du défunt de s’élever encore plus haut, tout en apportant plus de chance à la famille.
Le cercueil du défunt, un homme âgé, est exposé au milieu des bâtiments dans un « corbillard » ayant les attributs d’une maison Toraja et sera ensuite promené dans tout le village, à bras d’hommes, lesquels secoueront régulièrement l’ensemble afin que l’âme du défunt, désorientée, ne retrouve pas le chemin de la maison.
Début de la procession vers le village >> ici <<. Une sacrée épopée >> ici <<
L’ensemble de cette cérémonie dure de 2 à 15 jours en fonction de la classe, un système d’ailleurs très rigide. Au bas de l’échelle, ce sont les “esclaves”, encore appelés ainsi aujourd’hui, même s’ils ne sont plus des esclaves. En haut, les nobles.
La jeune femme et sa fille qui nous accueillera au nom de la famille.
Nous passons plusieurs heures à l’ombre d’une maison provisoire partageant le thé, assistant aux danses jusqu’au sacrifice d’un cochon puis d’un premier buffle.
Et de nouveau des photos et encore des photos… certainement plusieurs 100 aines pour Servane !
Nous laissons derrière nous les rites funéraires et ce que représente cette ultime fête pour gagner la falaise de Lemo avec ses tombeaux creusés dans la roche et ses effigies mortuaires aux balcons : accrochées à des falaises, elles bénissent leurs descendants en tendant la main en avant. Et ce qui est généralement caché dans la majorité des civilisations ne l’est pas ici, les crânes, les os humains font partie du paysage, et de la vie.
Visite assez morbide… alors on déconne un peu !
A gauche dans cet arbre les habitants creusaient un trou pour mettre les enfants mort avant l’age de 7 mois car ils étaient considérés sans âme. Les mettre dans ces arbres leur permettaient de les connecter plus vite avec le ciel !
Plus tard, nous passons dans un orphelinat et sommes accueillis par des enfants de 7 à 19 ans qui dansent et jouent du pompang et du suling. Nous découvrons ces instruments faits de bambou et pendant quelques trop courtes minutes nous échangeons avec ces jeunes, dansons également… Ici aussi, nous laissons quelques souvenirs de notre passage…
Quel accueil merveilleux nous ont-ils réservé >> ici << !
A Londa, ce sont des grottes qui sont gardées par les Tau Tau (prononcer Tao Tao) que nous admirons ainsi que les anciennes maisons Tongkonan et leurs greniers à riz.
Grandes maisons de l’extérieur et très petites de l’intérieur : 1 pièce et demi et c’est tout !
Ces maisons sont en bois massif, sur pilotis et sont décorées avec des motifs et des peintures de coqs (le coq est sacré). Quatre couleurs sont utilisées
- Le noir, symbole de la mort
- Le rouge, symbole du courage
- Le jaune, symbole de la bénédiction
- Le blanc, symbole de la pureté
Les artisans locaux travaillent uniquement avec ces couleurs.
De nouveau nous découvrons ses coutumes mortuaires : les cercueil suspendus ou des trous dans la roche !
Cette journée chargée et tellement représentative de la culture Toraja n’a été que dépaysement, émerveillement, étonnement et ressentis… une fenêtre sur une tout autre vie … Il y a tant à comprendre, à recevoir… Les Torajas, c’est plus fort que toi !!
Mercredi 27. Nouvelle découverte avec le site mégalithique de Bori, au sud de Rantepao : la particularité de la culture Toraja c’est d’être passé du mégalithique (culte des pierres) et de l’animisme, au protestantisme, presque d’un seul trait, au début du siècle, après avoir toujours repoussé les autres influences (religieuses et culturelles) répandues dans l’archipel indonésien, le bouddhisme et l’hindouisme et l’islam. Ces mégalithes symbolisent les ancêtres, la hauteur allant de pair avec le rang du défunt, au milieu desquels les cérémonies et sacrifices s’opèrent. Plus de cercueils dans les grottes mais des caveaux creusés dans le rocher, le travail d’une année, fermés par une petite porte. Les corps y sont déposés dans leur linceul.
Des menhirs ! Nous sommes à Carnac ? Et non ! Welcome au Pays Toraja !
Les Tautaux : ces statues qui représentent le défunt sont généralement placées devant la porte des tombes creusées dans la roche.
Nous repartons plus au nord pour profiter de somptueux panoramas sur les rizières.
Le battage du riz se fait encore à la main >> ici << ! Le bruit de fond est celui du minibus.
Nous les découvrons en partie à pied, au rythme des élèves qui quittent leur établissement scolaire… Nous continuons à être source d’étonnement et de curiosité, et nous prêtons une nouvelle fois au jeu des photos-souvenirs. Avouons que Servane ou Arthur remportent plus de succès que leurs parents !!
Encore une visite à un atelier de tissage puis c’est le retour à l’hôtel.
Tissage de la laine à la main >> ici <<
Les valises se referment, riches d’incroyables expériences… Demain matin nous ferons le chemin à l’envers en direction de Bali.
Un stop dans un restaurant pour un dernier appel à la prière. A droite les maison typique de Sulawesi ou l’on vit beaucoup « sous » sa maison.
La dernière journée balinaise sera largement consacrée au shopping, souvenirs et cadeaux pour les uns et les autres. Et dans toutes les boutiques, l’art du « vrai-faux » est à l’honneur… la réalisation est de telle qualité que l’on y croirait presque !
Incroyable, dans les aéroports on trouve très officiellement les contrefacteurs !
Demain, samedi 2 mars, Papou et Mamilou prennent le vol-retour. Snif. Nous profitons d’eux encore un peu et puis dans un peu plus de 4 mois, nous serons de nouveau réunis, cette fois sur le quai de la gare de Nantes !
L’Indonésie (4ème pays le plus peuplé au monde avec 280 millions de personnes) est aussi le plus grand archipel du monde avec plus de 13000 îles disséminées sur plus de 5000 km d’est en ouest et presque 2000 km du nord au sud. Bali est l’île la plus touristique, mais avec les évènements tragiques de ces dernières années (attentats, tsunamis, tensions, …), celle-ci est beaucoup moins fréquentée. Nous avons eu un bel et tout petit aperçu de tout ce que Bali peut offrir et de ce l’Indonésie recèle de trésors…
Les inclassables :
Un bel exemple de toilettes locales… le bac à gauche : c’est la réserve d’eau. Le sceau rose… la chasse manuelle !
Ça c’est du casque … ça va faire un malheur au Village Moto !
Même au pays Toraja, on trouve toujours une salle de prière musulmane dans les stations services de la compagnie nationale.
Séchage d’une peau de buffle pour en faire quelque instrument.
Les plats typiques : le Papiong : poulet cuit dans du bambou, et le cochon préparer à base d’une épice noire locale.
Le pays Toraja est riche… les tuk tuk sont mus par des scooter et non des vélos comme à Java !
Prêt pour un concours de mastication ? Alors cliquez >> ici <<.
Ils ont sont passés : Papou et Milou au fish spa !!!
Quel beau post ! Merci de nous faire découvrir tant de choses, on a l’impression de voyager avec vous! Au retour vous serez conseillers auprès de Frédéric Lopez, pour son émission Rendez Vous en terre inconnue ???
Pour les tortues , si elles naissent le 18 mars ce sera un beau cadeau d’anniversaire pour Clémentine ! Allez on veut bien en adopter quelques unes et les baptiser !
Bisous et bonnes découvertes en Thaïlande,
Nous tenons Clémentine informée aussi vite que possible… Ses « doigts palmés » vont pouvoir en taper 5 aux nageoires des tortues !
A très vite
Alors je tiens à préciser une chose !
Pendant la balade dans les rizières maman a réussit à se vautrer dans la boue alors qu’Arthur venait de passer et à fait remarquer que sa glissait beaucoup 😛
Ma petite Chérie…
fondamentalement, c’est pas très beau de balancer sur sa mère, mais bon, j’assume, c’est de bonne guerre.
Par contre, il y a un truc qui me reste en travers de la gorge, ce sont les fautes ! Gloups… Tu étais vraiment toute seule pour en faire autant ou il t’a fallu de l’aide ?
A bon entendeur…
Ça ! Bonne remarque de Servane ! C’est vrai que tout est parfait dans votre tour du monde : pas de vautrage, pas de cascades, à part Arthur, peu de grand moment de honte (lol) ? Ça sent la censure …
En tous cas, quand on a le temps de les lire, c’est vraiment intéressant, une expérience extraordinaire et inoubliable pour vous tous all around the world. Bravo ! Gros Bisous de nous tous !
Merci pour ce très beau reportage ;-()))))))))
J-Ph le Ligérien
Suis a Barcelone, c est pas mal on plus … Tres beau votre dernier post Dans l ensemble pas assez de moto … mais cette fois ci je releve un reel effort en ce sens … bien.